Carré rouge qui déborde
C'est un... une... une image (?) que je viens de faire avec Photoshop, et à laquel je pensais depuis hier matin.
Hier matin, en cours d'art contemporain alors qu'on parlait du mouvement Puriste lancé par Le Corbusier. Un mouvement qui veut faire un art "objectif mais non scientifique", qui refuse l'aléatoire et l'accidentel, qui veut des formes immuables et absolues. Bref, un mouvement dont mon petit cerveau à bien du mal à concevoir l'intérêt.
Eh bien à un moment de ce court j'ai pensé à un carré flou, un carré qui déborde, avec sa matière chaude qui s'imbibe dans le reste de l'environnement froid et inconnu. C'est à peu près les sensations que j'avais.
Etrangement, un peu plus tard, on a parlé du cubisme et de l'amour que portait Le Corbusier pour la ligne droite.
Depuis quelques temps je regarde des images de Mark Rothko, et je repense souvent à ses espèces d'anti-formes, des choses tellements floues et vaporeuses qu'elles ne sont plus des formes. C'est peut-être un mélange de l'esthétique Rothko, de mon incompréhension du Purisme et de mon désintérêt général pour les certitudes qui m'a fait pensé à cette image d'un carré dont tout "l'aléatoire" s'étend hors de ses limites.
J'avais une envie pressante de mettre à plat cette image, et pour le faire un peu mieux que mon stylo bic dans la marge du cahier, j'ai envisagé d'utiliser des bombes de peinture sur une toile.
Mais le moyen le plus sur et précis de reproduire cette image, ben c'était photoshop.
Hier matin, en cours d'art contemporain alors qu'on parlait du mouvement Puriste lancé par Le Corbusier. Un mouvement qui veut faire un art "objectif mais non scientifique", qui refuse l'aléatoire et l'accidentel, qui veut des formes immuables et absolues. Bref, un mouvement dont mon petit cerveau à bien du mal à concevoir l'intérêt.
Eh bien à un moment de ce court j'ai pensé à un carré flou, un carré qui déborde, avec sa matière chaude qui s'imbibe dans le reste de l'environnement froid et inconnu. C'est à peu près les sensations que j'avais.
Etrangement, un peu plus tard, on a parlé du cubisme et de l'amour que portait Le Corbusier pour la ligne droite.
Depuis quelques temps je regarde des images de Mark Rothko, et je repense souvent à ses espèces d'anti-formes, des choses tellements floues et vaporeuses qu'elles ne sont plus des formes. C'est peut-être un mélange de l'esthétique Rothko, de mon incompréhension du Purisme et de mon désintérêt général pour les certitudes qui m'a fait pensé à cette image d'un carré dont tout "l'aléatoire" s'étend hors de ses limites.
J'avais une envie pressante de mettre à plat cette image, et pour le faire un peu mieux que mon stylo bic dans la marge du cahier, j'ai envisagé d'utiliser des bombes de peinture sur une toile.
Mais le moyen le plus sur et précis de reproduire cette image, ben c'était photoshop.